Le ministère du travail a reconnu un cancer de la thyroïde d’un travailleur à la centrale de Fukushima daï-ichi comme étant d’origine professionnelle. Âgé d’une cinquantaine d’années, il aurait reçu une dose de 100 mSv depuis le début de la catastrophe (il doit s’agir de dose au corps entier, même si ce n’est pas précisé dans les articles de presse). Le cancer s’est déclaré en juin 2017.
C’est le deuxième cas de cancer de la thyroïde reconnu comme étant d’origine professionnelle parmi les travailleurs à la centrale accidentée (premier cas de cancer de la thyroïde). Il y a aussi trois leucémies (premier, deuxième et troisième cas) et un décès. 16 travailleurs en tout auraient fait une demande de reconnaissance de maladie professionnelle et 5 dossiers auraient déjà été rejetés.