L’Autorité de Régulation Nucléaire veut retirer environ 80% des 3 000 radiamètres qui mesurent en continu le débit de dose un peu partout à Fukushima. Il y a plusieurs raisons derrière cette décision. D’abord, ils ont une durée d’utilisation limitée et ils doivent être bientôt remplacé. Leur entretien coûte 360 millions de yens (2,7 millions d’euros) par an. Et enfin, le débit de dose a diminué.
Ne devraient être enlevés, que les radiamètres en zone jamais évacuée où le débit de dose ambiant est passé sous la limite de 0,23 µSv/an, qui correspond à 1 mSv/an, selon les hypothèses faites pas les autorités japonaises. Selon l’Asahi, les 600 radiamètres qui resteront, auxquels il faut ajouter les balises de TEPCo et celles des communes, seront déterminés après discussions avec les riverains.