En 2017, un habitant de Kyôto avait saisi un tribunal d’Ôsaka pour demander l’arrêt de la centrale d’Ôï située dans la province voisine de Fukui, car il estimait qu’en cas de séisme majeur, les réacteurs ne tiendraient, ce qui menaçait la vie des riverains.
En mars dernier, il avait été débouté en première instance. Il avait fait appel et la Haute cour d’Ôsaka vient, à son tour, de le débouter.
Les réacteurs 3 et 4 d’Ôï, exploité par Kansaï Electric, avaient été remis en service en 2018.