Les autorités ont distribué des dosimètres individuels à Fukushima, d’abord aux enfants et femmes enceintes, puis à toute la population. Ce sont les mairies qui en ont la charge. La télévision publique, la NHK, a contacté 26 mairies et il apparaît qu’il y a une forte baisse de l’utilisation de ces appareils, de 40% par rapport à 2011. Et c’est dans la ville de Fukushima que la baisse est la plus forte.
Environ 85 000 personnes continuent à les utiliser.