Nous avions expliqué que Kyûshû Electric, qui exploite la centrale de Sendaï à Kagoshima, où deux réacteurs sont en fonctionnement, avait renoncé à construire un nouveau centre de crise et voulait se contenter du centre provisoire actuel. Mais l’Autorité de Régulation Nucléaire a rejeté le dossier.
La compagnie voulait garder le centre actuel et ajouter une annexe résistante aux séismes pour y installer des salles de repos et un cabinet médical. Mais un des commissaires a jugé sans fondement l’affirmation que cela améliorait la sûreté et a critiqué l’absence de calendrier.
Et dire que cette compagnie proclamait haut et fort que la sûreté était sa préoccupation n°1 avant d’obtenir l’autorisation de redémarrer deux réacteurs.