Un employé à un quatrième niveau de sous-traitance était décédé d’un arrêt cardiaque sur le site de la centrale de Fukushima daï-ichi en mai 2011. Sa veuve a saisi la justice pour obtenir une indemnisation de la part de TEPCo qui n’a « même pas donné un bâton d’encens ».
Le tribunal de Shizuoka a estimé qu’il n’y avait aucune évidence que le donneur d’ordre, à savoir TEPCO, puis Toshiba, le premier sous-traitant, n’avaient pas à assurer la sécurité des travailleurs sous-traitants.
La veuve va faire appel.