TEPCo a contrôlé des contrats de travail de sous-traitants intervenant sur le site de la centrale de Fukushima daï-ichi. Dans 30% des cas, les personnes contrôlées n’étaient pas payées par la compagnie qui dirige leur intervention sur le site. C’est plus qu’il y a un an et c’est interdit par la loi japonaise.
L’an dernier, suite à la polémique sur les conditions de travail, avait décidé d’augmenté la prime de risque. 70% des personnes interrogées ont déclaré avoir reçu une explication relative à l’augmentation. 1 400 sur 2 400 ont eu une augmentation. Mais TEPCo ne leur a pas demandé le montant de la prime, ni quand l’augmentation a eu lieu.